7 peurs que vous devez surmonter lors du démarrage d’une nouvelle entreprise
Que préférez-vous : le filet de sécurité de votre 9-5 ou l’incertitude de démarrer votre propre entreprise ? C’est une décision difficile pour la plupart des gens. Abandonner votre salaire régulier au profit d’une voie entrepreneuriale plus risquée demande beaucoup de courage.
Les idées échouent, les marchés changent et la concurrence est féroce. Sans oublier à quel point le travail indépendant peut être solitaire et le souci supplémentaire de respecter vos obligations financières. Il n’est donc pas surprenant que la peur de l’échec soit l’un des prédicteurs les plus précis de ceux qui resteront coincés dans un travail qu’ils détestent, plutôt que de se lancer dans l’entrepreneuriat.
Après tout, le statistiques montrent qu’environ 20 % des petites entreprises échouent au cours de la première année d’exploitation. Un taux d’échec de 30 % est attendu d’ici la fin de la deuxième année. Au cours de la cinquième année, environ la moitié des entreprises feront faillite.
Mais la fortune, dit-on, favorise les braves, alors ne laissez pas la peur vous empêcher de poursuivre vos rêves.
Et pour aider ceux qui envisagent la voie la plus risquée vers le succès, cet article discutera de 7 peurs auxquelles les entrepreneurs sont confrontés et comment les surmonter.
Les avantages d’être entrepreneur
Peu de choses dans la vie sont meilleures que la perspective d’être son propre patron. Vous fixez vos heures et décidez ce que vous faites de votre temps. Il n’y a personne à qui rendre des comptes (à part l’Ursaff) et pas de microgestion. Vous êtes maître de votre destin.
L’un des principaux avantages de devenir entrepreneur est d’utiliser ses talents pour créer de la valeur et apporter des solutions à la demande. En tant qu’entrepreneur, vous avez le pouvoir d’inspirer les autres, de créer quelque chose de plus grand que vous et de faire une différence dans le monde.
Être propriétaire d’une entreprise vous offre également de la flexibilité. Vous pouvez choisir de travailler le matin ou le soir ou de diviser la journée comme bon vous semble. Vous décidez quand prendre des vacances et quelles vacances vous célébrez.
Et enfin, si vous tenez bon et survivez aux périodes difficiles, emprunter la voie entrepreneuriale peut vous voir augmenter de manière exponentielle vos revenus au fil du temps. Par exemple, Larry Page et Sergey Brin ont suivi la ligne entrepreneuriale lorsqu’ils ont lancé Google en 1998. Aujourd’hui, ils sont milliardaires.
7 peurs à surmonter lors du démarrage d’une nouvelle entreprise
1. La peur de l’échec

La peur de l’échec est enracinée dans l’incertitude. Les gens luttent avec l’inconnu et deviennent plus à l’aise avec ce qu’ils savent. Cette nouvelle carrière que j’apprécie tant durera-t-elle ? Est-ce que mes clients m’apprécieront ? Vais-je gagner assez d’argent ? Et si mon entreprise échoue?
Lorsque vous décidez de franchir le pas et de démarrer votre propre entreprise, vous devez croire que vous pouvez réussir en vous en tenant à vos principes et à vos valeurs. Il est également important d’aimer vraiment ce que vous faites, car cela conduit à plus de succès et de bonheur.
Pour surmonter cette peur, la première chose que vous devez faire est de vous préparer. Avant de commencer une affaire, faites preuve de diligence raisonnable et évaluez votre marché ; faites des recherches sur vos concurrents et déterminez vos faiblesses. Concevez ensuite un plan d’action pour combattre ces faiblesses au fur et à mesure qu’elles surviennent. Il est également important de se faire confiance.
Henry Ford a dit un jour : “Que vous pensiez pouvoir ou non, vous avez raison.”
Une autre façon de surmonter la peur consiste à rejoindre un groupe de réseautage local (en ligne ou hors ligne). Écoutez ce que les autres ont à dire et tenez compte de leurs commentaires.
Enfin, n’ayez pas peur de faire des erreurs en cours de route. Chaque échec est une expérience d’apprentissage qui vous aidera à surmonter les obstacles futurs et à renforcer votre détermination.
2. Manque de financement
Une bonne idée sans les ressources (argent et temps) à mettre en œuvre est une recette pour l’échec. Beaucoup de gens sont sceptiques à l’idée de se lancer dans l’entreprenariat parce qu’ils craignent de ne pas avoir les liquidités nécessaires pour démarrer leur propre entreprise.
Mais il existe des moyens de négocier dans le cas du capital de démarrage. De nombreux entrepreneurs commencent par démarrer, la pratique financière ou commerciale consistant à démarrer avec peu d’argent, puis à développer l’entreprise au fil du temps en réinvestissant les bénéfices.
Vous pouvez également opter pour un partenaire, investir votre propre argent, utiliser une plateforme de financement participatif pour lever des capitaux ou auprès d’un investisseur providentiel. Vous devrez faire preuve de créativité lors du financement de votre entreprise, mais faire décoller votre entreprise sans beaucoup d’argent est possible.
3. Aucune compétence technique

Grâce à Internet et aux quantités infinies d’informations à portée de main, il n’a jamais été aussi facile d’acquérir une compétence (qu’il s’agisse de marketing, de conception Web, de rédaction, de comptabilité ou de programmation). Grâce aux vidéos YouTube qui vous guident à chaque étape, vous pouvez acquérir une compétence en quelques heures seulement.
Il existe également des cours en ligne accessibles auxquels vous pouvez participer pour approfondir vos connaissances dans une compétence spécifique et des blogs informatifs, où vous pouvez obtenir de nombreuses informations sur la création et la gestion d’une entreprise.
De plus, faire des affaires n’est pas un jeu pour une seule personne. En tant qu’entrepreneur, votre responsabilité n’est pas de tout faire par vous-même. Au lieu de cela, vous devez diriger un groupe de personnes ayant des compétences différentes et utiliser pleinement leurs talents dans l’entreprise.
En déléguant des tâches à d’autres lorsque cela est nécessaire, vous économiserez de l’argent et libérerez votre temps pour vous concentrer sur d’autres aspects de l’entreprise dans lesquels vous excellez.
4. Redouter la concurrence

Voici une chose qui est sûre : vous n’êtes pas le seul à avoir une idée géniale. Il y a plus de 7 milliards de personnes dans le monde, donc il y a de fortes chances que quelqu’un ait eu un concept similaire au vôtre.
Peu importe qu’il s’agisse d’une autre entreprise, d’un livre, d’une chanson ou d’un blog : les gens font ou sont susceptibles de faire la même chose que vous. Et c’est bon.
Connaissez vos clients. Les vrais entrepreneurs aiment ce qu’ils font et sont passionnés par leur métier et leurs produits. Leur énergie est évidente dans leur attitude et le niveau de service qu’ils offrent aux clients. Cette passion gagne plus de clients qu’autre chose.
Pour rester au top de vos concurrents, vous devez rester attentif à ce qu’ils font et rester pertinent en améliorant constamment votre offre de produits.
Une approche éprouvée pour y parvenir consiste à adopter l’analyse SWOT (Strengths Weaknesses Opportunities Threats). Cet exercice vous aidera à déterminer les points forts de votre entreprise et à identifier les domaines à améliorer qui peuvent vous aider à devancer la concurrence.
Une autre chose que vous pouvez faire pour battre la concurrence est de vous réinventer et de viser de nouveaux marchés cibles. Par exemple, Slack a commencé comme Glitch, un jeu vidéo créé par Tiny Speck. En 2012, le jeu a été arrêté en raison d’un manque d’intérêt. Cependant, la fonctionnalité la plus populaire du jeu auprès des joueurs et des membres de l’équipe était sa fonctionnalité de chat colorée et interactive.
En conséquence, les créateurs ont proposé Slack, qui leur a permis de réinventer et de transformer leur produit précédent en l’une des startups à la croissance la plus rapide au monde.
La société a connu une croissance rapide et est devenue publique en 2019. Aujourd’hui, la société sert plus de 12 millions d’utilisateurs actifs quotidiens et plus de 119,000 XNUMX clients payants.
N’ayez pas peur d’ajuster votre stratégie au besoin pour vaincre vos concurrents.
5. Ne pas être en mesure d’assumer les responsabilités
Cette peur est énorme pour les entrepreneurs. Si vous avez peur d’être responsable du succès ou de l’échec de votre entreprise, surtout au début, vous ne devriez probablement pas en créer une.
Personne ne se souciera autant de votre entreprise que vous – ils n’y mettront pas autant d’argent ou ne passeront pas autant de temps à réfléchir à son succès que vous, vous devez donc vous engager à 100 % pour transformer votre idée en réalité .
Aussi, soyez prêt car il y aura des moments où vous travaillerez pendant que les autres joueront. Vous pouvez manquer des événements familiaux importants et manquer d’attention tout en travaillant sans arrêt pour assurer le succès de votre entreprise.
Cependant, si vous êtes prêt à relever le défi et croyez fermement que votre idée pourrait réussir, il n’y a pas de meilleur moment que maintenant pour mettre en œuvre le plan que vous avez passé des mois à élaborer et prendre en charge votre destin.
6. La peur de l’inconnu

Parfois, les gens ont peur de l’inconnu parce qu’ils manquent de confiance en eux. Si vous ne croyez pas en vous, il y a de fortes chances que les autres ne le fassent pas non plus. Le succès en affaires nécessite un acte de foi, alors croyez en vous. Les autres vous traiteront différemment si vous croyez en vous et en votre entreprise.
De plus, établissez des relations et des systèmes de soutien précieux. Entourez-vous de personnes qui partagent vos valeurs et en qui vous pouvez avoir confiance. Cherchez des personnes qui comprennent votre situation et qui veulent vous soutenir.
Les systèmes de soutien – famille, amis, réseauteurs ou connaissances virtuelles – peuvent vous encourager à poursuivre votre chemin et à célébrer vos succès, qu’ils soient grands ou petits.
7. La peur du succès
Une entreprise prospère peut prendre sa propre vie et vous craignez peut-être que votre idée ne se transforme en quelque chose de plus grand que vous ne pouvez gérer. Il est important de faire preuve de prudence et de rester fidèle à vos objectifs et à votre vision d’origine.
Vous devez tenir vos promesses et être à la hauteur de vos normes de service. Si vous établissez des normes au départ, assurez-vous de répondre aux attentes de vos clients.
La ligne de fond
Devenir propriétaire d’une entreprise prospère n’est pas une promenade de santé. Beaucoup de choses peuvent mal tourner, et c’est pourquoi beaucoup ont des craintes.
Le manque de fonds, le fait de ne pas avoir les compétences nécessaires, des niveaux de concurrence insensés dans votre domaine et la peur de l’échec sont des craintes courantes. Mais être un entrepreneur prospère nécessite d’embrasser ces peurs et de les surmonter à l’aide d’une bonne planification et d’un travail acharné.
Déterminez quelles peurs vous retiennent et transformez vos faiblesses en vos plus grandes forces.
#Entrepreneuriat2023
Google Play VS Apple Store : quelles différences ?
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lutôt iOS ou Android ? Combien de fois avez-vous été confronté à cette question ? Si vous venez de développer une application (ou si vous avez pour projet de le faire), la question de la référence sur le Google Play ou l’Apple Store va forcément se poser… Et c’est bien normal !
Les deux plateformes rassemblent près de 6 millions d’applications et sont toutes les deux les plus utilisées par les mobinautes.
Avant de faire le choix entre l’une ou l’autre (ou les 2), vous devez connaitre les différences et les spécificités de chaque magasin d’applications. Google Play, Apple Store, qu’est-ce qui les différencient ? Quels sont leurs points communs ? On vous dit tout !
Le volume d'applications disponible
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ême si le Google Play et l’Apple Store ont été lancés en 2008, le nombre d’applications qu’elles proposent à leurs utilisateurs diffère.
Commençons par Apple Store. Le magasin d’applications de la marque à la pomme comptait 500 applications à son lancement. En 2021, on en dénombrait 2.2 millions, dont 8% d’applications payantes. Au total, ce sont 750 000 développeurs qui proposent leur création sur l’App Store.
Google Play, de son côté, regroupe 3.4 millions d’applications, dont près de 4% sont payantes. Cependant, cette plateforme est disponible sur un plus large éventail de smartphones et tablettes. Elle génère donc plus de téléchargements.
D’ailleurs, le Play Store de Google s’est adjugé plus de 71% des utilisateurs contre 28% pour l’Apple Store. Signalons que les deux plateformes suppriment régulièrement plusieurs applications, ce qui crée une variation constante des chiffres.

La sécurité
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es règles de sécurité sont plus strictes sur l’Apple Store que sur le Google Play Store. Pour s’assurer que les applications soient sûres et fonctionnent correctement, les développeurs doivent passer par un processus d’examen spécifique, plus long que sur Google. Les normes de qualité sont élevées menant certaines fois à la « censure ». Des applications identifiées comme potentiels concurrents des services Apple peuvent également être rejetées.
Google Play Store dispose d’un processus d’examen automatique assez permissif. Des applications de faible qualité peuvent donc passer…
Les délais de contôle
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a sécurité et la qualité des applications sont liées au délai de contrôle imposé par chaque store.
Il faut environ 24 à 48h à Google Play pour examiner et approuver une application. Un délai raccourci à 2h pour les développeurs qui ont déjà publié des produits sur la plateforme…
Le processus est automatisé au maximum, pour vérifier que l’application est exempte de virus ou de logiciels malveillants, et qu’elle ne contient pas de nudité ou d’images protégées par des droits d’auteur.
Les délais de l’Apple Store sont plus longs. Plus de 90 % des applications iOS sont inspectées dans les 48 heures.
Les tests Béta
Google Play Store propose aux développeurs différents types de test, avant que l’application ne soit validée. Ces derniers peuvent donc faire tester leur produit auprès d’un groupe restreint d’utilisateurs ou mettre à disposition une version bêta auprès de tous les possesseurs de smartphone Android.
Dans ce cas, les internautes sont informés que l’application est actuellement en test. Ils seront invités à faire part de leurs retours en privé.
De son côté, l’App Store propose un outil nommé TestFlight, qui vous permet d’inviter les utilisateurs à tester votre app sur une version bêta d’iOS, d’iPadOS, de watchOS et de tvOS. Il vous suffira de les inviter par email. Les internautes choisis pourront ensuite fournir leurs feedbacks directement depuis TestFlight.
Les types d'applications
La plupart des applications iOS fonctionnent sans problème sur les appareils iPad et iPhone. Il faut dire qu’Apple ne propose pas beaucoup de modèles de devices… De manière générale, ils ont la même résolution et un niveau de performances similaire.
Néanmoins, certaines applications sont adaptées aux smartphones et donc indisponibles sur tablette… et inversement ! Pour les développeurs, il suffira donc de se poser une seule question au moment de créer l’application : doit-elle être disponible sur iPhone, iPad ou les 2 ?
A l’inverse, le Play Store alimente un grand nombre de smartphones et de tablettes fonctionnant avec des RAM, des CPU et d’autres configurations matérielles éparses. Développer des applications pour Google Play nécessite plus de personnalisation, de flexibilité, d’optimisation et de mise à l’échelle pour qu’elles s’adaptent aux différents terminaux. Cela peut vite devenir un casse-tête, notamment pour les interfaces complexes !
Le développement des applications
Autre point qui différencie Google Play et Apple Store : le développement des applications. Pour la première plateforme, vous devez utiliser les langages Java, ainsi que Kotlin sur Android Studio.
Pour iOS, vous devez savoir programmer en Swift et créer l’app sous XCode.
Si vous souhaitez développer une application pour iOS mais que vous ne maîtrisez pas le Swift, faites appel à nos services !
La catégorisation
Ici, nous abordons un point similaire ! Les deux magasins d’applications proposent des rubriques variées qui vont de l’actualité à la médecine, en passant par la finance, la santé, le divertissement, l’économie, la lecture, la productivité ou encore la cuisine.
Peu importe le système choisi, vous pourrez facilement classifier votre app.
La galerie d'images et de vidéos
La galerie d’images et de captures constitue un élément important de la page de présentation de votre application. Que ce soit sur Google Play ou App Store, les visuels aident à se projeter avec votre outil et à comprendre ses fonctionnalités.
Presque tous les visiteurs interagiront avec votre galerie d’une manière ou d’une autre… Cependant, dans Google Play, les utilisateurs sont 45 % moins susceptibles de faire défiler vos images que sur Apple.
En ce qui concerne les vidéos, Apple Store vous permet d’uploader des présentations ou démonstrations de 15 à 30 secondes. Quant à Google Play, il permet d’intégrer des vidéos YouTube qui vont jusqu’à 2 minutes.
Niveau engagement, les utilisateurs d’Android sont 2x plus susceptibles d’interagir avec votre vidéo. Néanmoins, les utilisateurs iOS ont 22% de chance supplémentaire de la regarder jusqu’au bout.
Les comportements décisifs
Apple Store classe ses utilisateurs en deux catégories :
- Les visiteurs décisifs : ceux qui choisissent d’installer ou non l’application en se basant uniquement sur les éléments visibles au chargement de la page.
- Les explorateurs : les utilisateurs qui interagissent avec les éléments de la page en regardant une vidéo ou en faisant défiler votre galerie d’images.
Il y a fort à parier que Google Play utilise ce même classement. Cependant, il faut savoir que les utilisateurs d’Android sont 40% plus susceptibles d’être des visiteurs décisifs.
En cause : une mise en page plus attrayante sur Google Play, avec une icône principale bien visible, puis une galerie de captures.
Sur l’Apple Store, la galerie s’affiche directement (en étant coupée, selon le modèle d’iPhone), ce qui peut être un peu moins convivial.
La description
Dans Google Play, la description permet d’obtenir 25 % de clics supplémentaires sur le lien « Plus » que dans l’Apple Store.
Là encore, tout se joue au niveau de la mise en page. La description est affichée au-dessus de votre galerie d’images et en haut de l’écran du téléphone des utilisateurs, ce qui donne plus de poids au lien.
Dans les deux cas, les premières lignes de la description de l’application sont cruciales. Elles doivent donner envie d’en découvrir davantage pour susciter l’installation.
Le coût et la rétribution
Lorsque vous vous inscrivez en tant que développeur sur l’App Store, vous devez régler un abonnement annuel de 99$. Vous recevez 70 % de commissions sur les ventes de votre application. Cependant, Apple a créé un taux de commission réduit pour les petites entreprises ou les développeurs gagnant moins d’1 million de dollars par an : la marque leur prélève seulement 15%.
Sur Google Play, l’inscription coûte 25$ pour accéder à l’espace développeur. Ce tarif est unique, payable une seule fois. Les développeurs reçoivent également 70 % des revenus générés par leurs applications et peuvent publier autant d’applications qu’ils le souhaitent.
Toutefois, la plupart des applications proposées sur le Google Play Store gratuites. En effet, les utilisateurs d’Android semblent plus enclins à télécharger des applications gratuites, contrairement aux fans de la marque à la pomme. Cela oblige le développeur à réfléchir à d’autres moyens de rentabiliser son application (via des achats intégrés, de la publication, du sponsoring, etc.).
Le nom de l'application
L’Apple Store autorise un maximum de 30 caractères pour le nom de l’application. Suite à la nouvelle mise à jour des règles annoncée par Google en avril 2021, le Play Store utilise la même règle.
Toutefois, les noms jouent différents rôles dans chaque app store. Dans les résultats de recherche de Google Play, seuls l’icône et le nom de l’application sont affichés pour les termes de recherche généraux.
Cet aspect est moins important dans l’App Store. Ici, nous avons même le sous-titre et les captures d’écran ou les vidéos dans les résultats de recherche afin de capter davantage l’attention des mobinautes.
La visibilité
Les recherches sur le Play Store sont beaucoup plus efficaces, car Google va exécuter les requêtes à travers toutes les informations disponibles sur une page, y compris les descriptions.
L’App Store, quant à lui, compare les requêtes aux mots-clés que les développeurs ont indiqué. C’est beaucoup moins précis. Cependant, le magasin d’applications d’Apple est connu pour les opportunités offertes par son interface intuitive, qui mise sur la promotion.
En effet, les utilisateurs peuvent voir, à la une, des applications populaires classées par catégorie. Cela leur permet de découvrir plus facilement des outils tendances et offre une visibilité hors pair aux produits sélectionnés.
Les backlinks
Une dernière différence majeure entre les algorithmes d’Apple Store et de Google Play est la manière dont ils prennent en compte les liens vers la page web de votre application.
Comme pour le référencement, l’algorithme de Google prend en compte le nombre de backlinks vers la page Web de votre application pour déterminer son autorité. L’algorithme d’Apple, en revanche, ne prend pas en compte les liens entrants vers votre page pour mieux référencer votre app.
NOTRE ASTUCE
Google Play et Apple Store : lequel choisir ? Tout va dépendre de votre marché et de votre business model ! Néanmoins, rien ne vous oblige à choisir.
Vous pouvez proposer votre application dans les deux magasins. Encore une fois, sondez vos objectifs et votre audience pour décider quelle plateforme est la plus adaptée.
Si vous avez besoin d’aide pour développer votre application mobile, faites appel à nous!
La Chine vise le développement des entreprises liées au métavers
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n organisme industriel chinois conçu pour développer les applications métavers du pays a ajouté un nouveau groupe d’entreprises à sa liste, dans le cadre de la dernière vague d’engouement pour cette technologie.
Le métavers n’a pas encore de définition solide, mais il fait souvent référence à des technologies comme la réalité virtuelle et à l’idée que les gens peuvent jouer et vivre dans des mondes virtuels.
Le comité métavers de la China Mobile Communications Association, soutenue par l’État, a ajouté 17 entreprises supplémentaires. Au total, 112 entreprises ou individus font partie de l’organisme industriel.
Le dernier lot comprend des sociétés cotées en bourse telles que Inly Media, dont les actions sont négociées à Shanghai, et Beijing Topnew Info & Tech, dont les actions sont négociées à Shenzhen.
La China Mobile Communication Association est enregistrée auprès du ministère des affaires étrangères du pays et est soutenue par de grandes entreprises technologiques telles que Huawei et l’opérateur de télécommunications China Mobile. Son comité sur les métavers a été créé en octobre et a pour mission de développer des normes et des technologies autour des métavers.
La Chine met souvent en place de tels comités autour de technologies qu’elle souhaite développer rapidement et dont elle veut prendre la tête. La création du comité métavers pourrait également suggérer que la Chine cherche à réglementer la technologie au fur et à mesure de son développement.
“Les entreprises traditionnelles chinoises de l’internet se sont d’abord développées et ont ensuite été réglementées. Les industries comme le métavers seront réglementées au fur et à mesure de leur construction”, a déclaré Du Zhengping, responsable du comité de l’industrie du métavers de la China Mobile Communications Association.
À l’instar des géants américains de la technologie, les entreprises chinoises, de Tencent à Alibaba (NYSE:BABA), explorent toutes le développement d’applications liées au métavers. Toutefois, les analystes ont déclaré que le développement du métavers en Chine sera probablement très réglementé et qu’il est peu probable qu’il comporte des crypto-monnaies, contre lesquelles les autorités ont adopté une position ferme.

Divi vs Elementor : quel constructeur de pages choisir ?
Les constructeurs de pages WordPress divisent les utilisateurs en 2 catégories : certains les détestent, d’autres ne jurent que par eux. Peu importe dans quel camp vous êtes, ils sont là pour durer.
WordPress est toujours un leader de la conception de sites Web, à la fois utilisé comme outil professionnel pour des sites Web de classe mondiale, que pour les particuliers pour leur site personnel. Si WordPress est si populaire, c’est pour ses options de personnalisation infinies, sa communauté active et le fait qu’il soit open-source : c’est ce qui a rendu possible l’avènement des constructeurs de sites, parmi lesquels 2 semblent s’imposer : Divi et Elementor.
Aujourd’hui, nous allons donc examiner Elementor et Divi, pour faire jaillir leurs différences, leurs points communs, et peut-être déterminer lequel vous conviendra le mieux.
Divi
Divi est un thème WordPress, aussi disponible sous forme d’extension, comptant plus de 700 000 ventes (et donc, utilisé par des millions de sites) : c’est sans doute le constructeur le plus populaire pour WordPress. Divi s’adresse à tous : aux agences, aux particuliers, aux freelances indépendants, en les aidant à développer des sites Web d’aspect professionnel.
Les raisons de la popularité de Divi sont nombreuses, voici les principales :
- Accès illimité : Divi donne un accès illimité à l’ensemble des fonctionnalités pour chaque site créé : pas de paliers d’utilisation, ni d’étalement tarifaire, c’est tout compris, sans conditions.
- Plan de tarification clair : ça rejoint le premier point, mais le plan tarifaire de Divi est le plus clair possible, nous le verrons plus loin.
- Communauté et assistance : Divi dispose d’une communauté très active, et Elegant Themes (l’entreprise qui le commercialise) propose également un support de très haute qualité.
Elementor
Tout comme Divi, Elementor fait partie des constructeurs les plus populaires et revendique 5 millions de sites web actifs. Connu pour sa vitesse de page fulgurante et son interface facile à utiliser même pour les débutants, il propose une version gratuite de son outil. Cependant, si vous avez besoin de toutes les fonctionnalités, vous devrez obtenir la version premium…
Elementor offre presque tout ce que fait Divi, à l’exception de quelques différences ici et là que nous allons examiner plus loin. Dans les points forts d’Elementor, une courbe d’apprentissage plus aisée ce qui le rend plus facile à utiliser, et donc particulière adapté pour les débutants.
Divi vs Elementor : Similitudes Interface visuelle par glisser-déposer
Elementor et Divi offrent tous deux une interface visuelle de type « glisser-déposer » : vous pouvez concevoir votre page avec un aperçu en temps réel de ce que vous et avez même la possibilité de modifier le texte en tapant directement sur celui-ci. S’ils sont similaires sur le fond, ils ne le sont pas dans la forme :
Divi propose un éditeur plein écran, dépourvus d’éléments d’interface, bien qu’un bouton en bas de l’écran ouvre quelques options. Pour ajouter et modifier un module, il faut passer la souris sur la page et utiliser les boutons qui apparaissent au survol de la souris. Divi représente chaque élément de la page par des couleurs différentes : de grandes sections, des plus petites, puis à l’intérieur, les modules. Lors de l’édition d’un élément, la fenêtre contextuelle qui s’ouvre alors peut être redimensionnée et déplacée (par glisser-déposer).
Du côté d’Elementor, les utilisateurs ont bien, à gauche de l’écran, une barre latérale fixe, visible en permanence, qui contient tous les éléments de construction nécessaires : il suffit de piocher dedans, et de glisser-déposer l’élément sur la page. Bien que cela atténue le sentiment d’immersion, certains utilisateurs trouvent plus pratique de pouvoir interagir avec une barre latérale fixe, plutôt que le système de boutons qui apparaissent et disparaissent dans l’interface Divi.
Si vous considérez le facteur pratique, l’interface d’Elementor peut vous séduire, surtout qu’elle s’avère exempte de problèmes et plus rapide que celle de Divi. Mais si vous privilégiez une expérience immersive avec un espace de travail clair, alors Divi est le bon choix.
Nombreuses options de style
En ce qui concerne les options de style disponibles, Divi et Elementor font jeu égal, même s’il existe là encore quelques différences entre les deux. Globalement, les deux concurrents offrent beaucoup plus de designs et d’options de style que tous les autres.
Il est difficile de comparer objectivement cet aspect, les deux ayant énormément de petites fonctionnalités rangées dans « style et design ». Voici donc dans les grandes lignes ce que Divi et Elementor offrent en la matière:
- Espacement personnalisé
- Défilement Parallax
- Effets d’animation
- Positionnement des modules facile
- Séparateurs de section de différentes formes
Conception réactive
Divi et Elementor veillent à ce que tout ce que vous réalisez soit responsive, par défaut. Cela signifie que vos travaux fonctionnent parfaitement sur les smartphones, les ordinateurs et les tablettes. Bien sûr, tous deux vous permettent également de personnaliser les paramètres responsive de vos designs. Vous avez la possibilité de masquer certains modules particuliers, (par exemple les grandes images sur les smartphones).
Fonctionnalité de construction de thème
Ces deux constructeurs de pages ne sont pas limités au contenu d’une seule page, et sont des constructeurs de sites, vous permettant de concevoir un thème WordPress entier. Il existe en effet des éléments WordPress qui sont issus du thème actif, et bien souvent les constructeurs de pages ne s’arrêtent qu’au contenu de la page en cours d’édition, sans toucher à ces autres éléments du thème.
Par exemple, avec Divi et Elementor vous pouvez créer des « modèles » qui se déploieront sur l’ensemble de votre site pour :
- Le pied de page
- Les pages d’archives comme la page qui liste tout le contenu de votre blog.
- Le header
- Les pages des articles du blog…

Prise en charge du clic droit
Divi et Elementor prennent tous deux en charge le clic droit, et ce sont les seuls constructeurs à le proposer.
La possibilité de faire un clic droit peut sembler futile, mais c’est vraiment pratique et permet de gagner beaucoup de temps : grâce au clic droit, par exemple, vous pouvez :
- Enregistrer des modèles
- Supprimer un module
- Copier un style, puis le coller dans un autre module
- Copier un module entier, pour le coller ailleurs
- Et bien plus encore.
Divi vs Elementor : Différences
Maintenant que nous avons constaté des similitudes entre Divi et Elementor, partons à la découverte des différences majeures entre ces deux outils.
Elementor possède un créateur de fenêtres pop-up
L’une des différences les plus remarquées entre Divi et Elementor est que ce dernier propose un outil de construction de fenêtres contextuelles, ce qui n’est pas le cas de Divi.
Le générateur de pop-up d’Elementor vous permet de créer des fenêtres pop-up et de les afficher où vous le souhaitez sur votre site Web : vous pouvez utiliser l’ensemble des widgets d’Elementor dans le pop-up, ce qui signifie que vous pouvez concevoir :
- Des fenêtres pop-up d’appel à l’action et de promotion
- Des fenêtres pop-up d’opt-in pour Newsletter
- Des fenêtres pop-up d’inscription et de connexion
- Tout ce que vous voulez.
Bon, si Divi ne propose pas de générateur de pop-ups intégré vous avez toujours la possibilité d’utiliser des plug-ins tiers, d’ailleurs vous avez un accès gratuit au plugin Bloom « email opt-in » lorsque vous achetez Divi. Mais il reste moins flexible que la fonction d’Elementor.

Divi offre une fonction intégrée de test A/B
Si vous souhaitez créer un site professionnel axé sur le marketing ou le e-commerce, vous allez adorer le fait que Divi soit livré avec des tests A/B intégrés. Il suffit de cliquer droit avec votre souris sur un module pour faire apparaître un test A/B et découvrir les performances des variantes de chaque module. Avec cette fonction, vous pourrez tester différentes images, titres, boutons CTA, tout ce que vous voulez.
Si vous avez l’intention de concevoir des landing pages, cette fonctionnalité sera extrêmement utile.
Elementor ne propose pas de test A/B intégré, mais vous serez en mesure de réaliser des tests A/B via des solutions tierces (comme Google Optimize) ou « Split Test for Elementor ». C’est sûr, c’est pas aussi pratique que l’option intégrée de Divi.
Divi est livré dans une version plug-in ou thème
Elementor n’est qu’un plugin. Bien que l’équipe d’Elementor propose son propre thème (« Hello theme »), destiné à être utilisé avec, il s’agit toutefois d’un plugin autonome.
Divi, quant à lui, est livré avec un plugin ou un thème. Si, pour beaucoup, il ne s’agit pas d’une différence très importante, elle l’est : si vous optez pour le thème Divi, vous êtes certain que votre constructeur de pages et votre thème fonctionnent parfaitement bien puisque c’est la même chose. Avec Elementor, ce n’est pas toujours le cas.
Templates et packs de mise en page
Elementor et Divi fournissent un grand nombre de templates pré-conçus que vous pouvez utiliser pour gagner du temps, ils sont donc similaires sur cet aspect. Mais la façon dont ils proposent ces modèles diffère.
Divi propose ce que l’on appelle « des packs de mise en page », qui sont des kits thématiques conçus pour des niches particulières. Par exemple, si vous souhaitez concevoir un site pour un garage, le pack de mise en page Divi pour les garages vous mâchera le travail pour la plupart des pages dont un garage pourrait avoir besoin.
Avec plus de 150 packs, Divi propose donc plus de 1000 modèles de page.
Elementor de son côté déploie progressivement sa propre version de packs, mais il ne dispose actuellement que de quelques kits de site, très peu nombreux.
Elementor et Divi : les prix
Le dernier élément différenciant les deux outils, c’est leur politique tarifaire.
Le coût de Divi se situe à 80$ par an pour toutes les fonctionnalités, et pour autant de sites que vous voulez. Vous pouvez opter pour un seul paiement à vie, au tarif de 249€.
Elementor propose une version gratuite (mais limitée). La version Pro est basée sur le nombre de sites, et coûte entre 49$ par an et 999$ par an.
Si vous avez besoin d’aide pour créer les pages de votre site WordPress, vous pouvez faire appel à nos services car nous cherchons qu’à vous aider !
Ne t’inquiètes pas de l’échec. Inquiètes-toi plutôt de ce que tu manques si tu n’essayes même pas.
Jack CANFIELD
Microsoft célèbre les 20 ans de .NET
ce 14 février 2022 ne marquait pas que la Saint Valentin. Il célébrait aussi 20 ans d’amour – et de désamour – entre les développeurs et le framework .NET ! Un évènement célébré en vidéo par Microsoft.. Ce 14 février 2022 ne marquait pas que la Saint Valentin. Il célébrait aussi 20 ans d’amour – et de désamour – entre les développeurs et le framework .NET ! Un évènement célébré en vidéo par Microsoft.
Ce 14 février 2022 ne marquait pas que la Saint Valentin. Il célébrait aussi 20 ans d’amour – et de désamour – entre les développeurs et le framework .NET ! Un évènement célébré en vidéo par Microsoft.
En réalité, cela fait déjà plusieurs années que Microsoft planche sur un ensemble de services (au départ conçus séparément les uns des autres par des équipes différentes) connu sous le nom de NGWS (Next Generation Windows Services). Cet ensemble sera officialisé en Juin 2000 par Bill Gates en personne, alors encore CEO de Microsoft et empêtré dans l’action en justice du DOJ contre l’éditeur pour abus de position dominante. « Il s’agit d’une nouvelle plateforme. Elle affectera chaque bout de code d’application qui sera écrit. Elle va redéfinir l’interface utilisateur, ce que vous voyez à l’écran et comment vous interagissez, autant que l’a fait la transition de DOS à Windows ». Un mois plus tard, les développeurs du monde entier vont se ruer sur ce qui reste la plus mémorable des PDC – Professionnal Developer Conference – pour découvrir plus concrètement ce qui se cache derrière l’annonce énigmatique de Bill Gates. « .NET » introduisait déjà des concepts tels que « Software as a Service », SOAP, Smart Devices, XML, C#…
À l’époque le « .NET Framework » se composait d’un runtime permettant d’exécuter du code .NET sur des PC Windows, des serveurs Windows et des terminaux mobiles Windows (via le compact framework), un ensemble de classes orientées objets pouvant être appelé depuis différents langages de programmation, et le moteur ASP.NET (pour servir des pages Web dynamiques et destiné à succéder au moteur ASP d’Internet Information Server). À ce framework s’ajoutait un nouveau langage de programmation : C#.
Il faudra plus de 18 mois à Microsoft pour réellement finaliser son framework et le lancer avec l’environnement de développement adéquat le 14 février 2002 au travers de Visual Studio .NET 2002.
Longtemps, le « .NET Framework » fut une exclusivité Windows. Il a révolutionné le développement en entreprise sous Windows et sous Windows Server bien qu’en très forte concurrence dans les entreprises avec Java.
Réinventer .NET en Open Source
Le cloud, la montée en puissance de Linux et ses containers, l’arrivée d’Android et iOS, ont un temps éclipsé un framework bien trop attaché à Windows (alors que sa conception se voulait plus universelle à l’origine). Mais en 2014, Microsoft annonce son intention de réinventer .NET pour un monde cross-plateforme et d’en faire un projet open source. Ainsi naissait « .NET Core ». Il faudra attendre « .NET 5 » et plus encore « .NET 6 » pour voir l’éditeur en quelque sorte réunifier la version Windows historique et la version Open Source modernisée de dotNET.
Aujourd’hui, « .NET » est une technologie open source supportée par plus de 100 000 contributeurs, compatible Windows, macOS, Linux et même Android et IOS au travers de l’extension MAUI.
« Aujourd’hui, plus de cinq millions de développeurs utilisent .NET et ceci est une célébration de vous tous« , écrit Beth Massi, directrice marketing chez Microsoft dans un billet de blog. « Il est étonnant qu’une plateforme vieille de 20 ans soit aussi le framework le plus aimé des développeurs depuis maintenant trois années consécutives – 2019, 2020, 2021, selon l’enquête sur les développeurs de Stack Overflow. »

Déjà 20 ans de .NET
Pour célébrer les 20 ans de son célèbre et populaire framework, Microsoft a produit une courte vidéo à retrouver ci-dessous, a diffusé une mini-conférence en ligne, mais a surtout annoncé « .NET 7 » dont la première Preview sera dévoilée dans la semaine. Plusieurs améliorations sont attendues notamment autour de la technologie Blazor mais cette version 7 devrait aussi tenir les promesses de réunification « Framework Windows / Framework Core » que « .NET6 » n’avait pas totalement réussi à concrétiser.
Réseaux sociaux. À Caen, Qwice parie sur l’intelligence collective
La start-up basée à Caen développe une application d’échanges misant sur la qualité. Un contre-modèle face aux réseaux sociaux classiques.

Un réseau social d’un nouveau genre va-t-il voir le jour à Caen ? C’est l’ambition de la petite équipe de Qwice, une start-up accueillie chez Normandie incubation.
Les réseaux sociaux présentent de nombreux problèmes qui vont de la dispersion des informations aux débordements comme l’agressivité, l’incitation à la haine, les trolls ou le cyberharcèlement. Avec Qwice, nous voulons tenter de répondre à ces risques.
Pour atteindre cet objectif, les promoteurs de l’application comptent sur
de la communauté réunie sur Qwice.
Comme sur les autres réseaux sociaux, les utilisateurs et utilisatrices pourront échanger des idées, des opinions, des informations. Mais pour que ces échanges soient réellement utiles, nous n’allons pas nous contenter des traditionnels j’aime, j’aime pas,
avance Thomas Leralu. Les utilisateurs pourront juger la pertinence d’une information à l’aide d’appréciations apportant de la nuance : utile, offensant, étayé… Avec ce système, une fake news ne sera pas forcément censurée mais descendra très vite dans un fil de discussion. En revanche, les réflexions les plus constructives auront plus de visibilité.
Lancement en 2023
L’utilisateur de Qwice disposera d’un autre dispositif pour choisir son mode d’échanges :Il pourra décider ce qu’il désire lire en changeant de mode. Notre curseur va de freestyle à sérénité en passant par équilibre. Des modes d’échanges où l’on pourra passer de positions très tranchées à des échanges plus constructifs.
Qwice est en cours de développement. L’application devrait être lancée en 2023. La publicité et les enquêtes produits payées par des entreprises seront ses sources de revenus.
Accompagnée par Normandie incubation et Initiative Calvados, Qwice est aussi en discussion avec la Banque publique d’investissement. Avec pour objectif la création d’une trentaine d’emplois d’ici un an.
10 frameworks CSS à utiliser en 2022
I
l n’y a pas si longtemps, créer un site ou une application Web avec du CSS et du HTML était un travail assez fastidieux. De nos jours, grâce à l’apparition des frameworks, développer un site web n’est plus une tâche si ardue.
Les frameworks CSS aident les développeurs Web et autres web-designers à structurer rapidement leurs sites, leur permettant de se concentrer davantage sur les différentes fonctionnalités, plutôt que de passer du temps sur les éléments de style.
Les développeurs (débutants ou non) ont parfois du mal à savoir quel framework CSS utiliser pour leurs projets de développement. Si vous êtes l’un d’entre eux, alors, cet article est fait pour vous !
Nous allons en effet faire un petit tour parmi les frameworks CSS les plus populaires, à utiliser en 2022 pour vos travaux de développement. Les frameworks CSS suivants vous aideront en effet à développer des sites et des applications web de manière plus efficace, plus rapide et plus performante.
The first step is clearly identifying which goals you want to achieve. Get specific. Do you want to increase brand awareness? Are you all about locking in leads? Do you want to establish a strong network of influencers that can help you be discovered? How about pushing engagement on social media?
1. Bootstrap

Bootstrap en premier, non pas parce qu’il est très populaire (bien que ce soit le cas), mais parce que c’est Bootstrap qui a permis de déployer le responsive design à grande échelle.
En fait, ce framework a même été le premier à encourager le principe du « mobile-first » dans le monde du développement web. Grâce à Bootstrap, les développeurs n’ont pratiquement plus besoin de passer de temps à positionner des éléments CSS délicats, ni à résoudre les incompatibilités entre navigateurs.
Bootstrap offre également de nombreux composants d’interface utilisateur, nécessaires au développement de sites Web. Navigation, formulaires, cartes, fenêtres modales, boutons, barres de progression, alertes de notification – ce framework a tout ce qu’il faut !
Gratuit et open-source, vous pouvez télécharger Bootstrap sur son site internet.
2. Foundation

Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ? Foundation est tout à fait sur cette ligne de conduite. Étant l’un des frameworks CSS les plus avancés et les plus performants du marché, il donne aux développeurs web un contrôle total de leurs interfaces utilisateur.
Foundation permet de prototyper rapidement un site et une application qui fonctionneront aussi bien sur les smartphones, les ordinateurs de bureau et même les Smart TV.
Foundation dispose d’une grande variété d’outils visant à résoudre presque tous les types de problèmes rencontrés par un Front-dev. Également doté d’une interface en ligne de commande, Foundation peut sembler fade et un peu alambiqué, surtout pour les débutants, mais il n’impose aucune sorte de langage stylistique.
Foundation est gratuit, et publié sous la licence MIT.
3. Materialize

Le développement de Materialize par Google a commencé en 2014 et depuis, le framework a su conserver sa place parmi les frameworks les plus populaires.
Il s’agit d’un ensemble d’éléments prêts à l’emploi et réalisés en Material Design, l’un des langages les plus demandés dans le monde.
En utilisant cet outil, il est facile de créer un site Web corporate assez poussé. Materialize CSS fera également une bonne base de départ pour la création d’une boutique en ligne. Le framework dispose d’une grille Bootstrap, ce qui facilite la vie du programmeur.
Deux versions ont été développées, une version SASS (avec une liberté dans le choix des composants), et une version « standard » avec des fichiers CSS et JS minimisés ou non.
4. Skeleton

Tout comme le système osseux constitue une structure de soutien pour un corps, le framework Skeleton agit comme une structure sous la surface d’un site Web. Il s’agit d’un framework CSS simple et propre pour les sites Web, et les applications construites à l’aide d’HTML5.
Skeleton dispose d’une grille de mise en page responsive grâce aux « media queries » pour les propriétés de style CSS spécifiques aux différents appareils. Il comprend également un modèle pour le clonage de sites Web et un code javascript qui permet de styliser correctement des éléments HTML5 dans les anciens navigateurs Web.
Mention spéciale pour le slogan : « A dead simple, responsive boilerplate »
5. Tailwind
Tailwind est présenté comme un framework CSS de bas niveau, hautement personnalisable. Il est dit « de bas niveau » parce qu’au lieu de proposer des composants prédéfinis, Tailwind propose des classes utilitaires : contrairement à d’autres frameworks CSS tels que Bootstrap ou Foundation, Tailwind propose des classes pour notre propre HTML.
La plupart des frameworks ne sont pas très performants dès qu’on souhaite personnaliser un site Web, en raison de leurs composants prédéfinis et préconçus qui « obligent » l’utilisateur à faire avec ce que le framework propose. Tailwind, lui, ne fournit pas de composants prédéfinis, conçus à l’avance. Au contraire, il fournit des classes personnalisables pour qui souhaite un site Web personnalisé, qui se démarquent des autres.
6. UIKit

Voici un autre framework front-end populaire, léger et modulaire permettant de développer des interfaces de sites Web rapidement. UIKit est axé sur le minimalisme, non pas en termes de fonctionnalités, mais de conception : contrairement à d’autres frameworks CSS, celui-ci est surtout connu pour sa sobriété et son élégance.
Outre les sites Web, UIKit peut également servir à construire et gérer une interface utilisateur graphique pilotée par événements, pour les applications iOS. De plus, le style de base d’un site Web peut être étendu grâce à des thèmes, et peut facilement se personnaliser pour coller aux besoins du client.
7. Bulma

Bulma est un autre framework CSS puissant, qui compte parmi les plus populaires : l’outil comptabilise plus de 41 000 étoiles sur GitHub (c’est plus que Foundation !) et cela montre une large adoption de Bulma par les développeurs web. Bulma utilise une mise en page « flexbox » pour créer des sites Web responsives modernes.
A l’instar de Bootstrap et de Foundation, Bulma est fourni avec de nombreuses classes CSS prédéfinies et des identifiants pour les composants les plus communs (les boutons, les colonnes, les formulaires, les infobulles, etc.). Même s’il est entièrement écrit en CSS, et qu’il n’utilise pas de JavaScript, Bulma est capable de créer des interfaces utilisateur aussi belles que robustes.
Comme il utilise le CSS, les développeurs web peuvent facilement apporter leur touche personnelle à un site web en modifiant les classes et variables.
8. Semantic UI

Semantic UI est un cadre CSS pour utilisateur chevronné, et qui utilise JavaScript et jQuery. Principalement utilisé pour la conception de thèmes de sites Web, il est compatible avec les frameworks populaires, tels que React, Angular, Ember et Meteor (qui permettent aux développeurs de créer des interfaces utilisateur dynamiques et interactives pour plusieurs appareils).
En dehors d’une structure globale assez complexe qui s’accompagne d’une courbe d’apprentissage élevée, Semantic UI tente de fournir des classes CSS (et HTML) concises et simples, en utilisant des langages naturels afin de pouvoir rivaliser avec les frameworks moins complexes. Il existe plus de 3 000 thèmes créés à l’aide de Semantic UI, qui dispose d’une communauté grandissante contribuant à son développement.
9. Pure

Vous cherchez de la légèreté ? Pure est l’un des meilleurs frameworks CSS sur ce point : le fichier .zip complet de Pure fait moins de 5 Ko ! Conçu pour créer des pages Web responsives qui s’affichent également bien sur les appareils mobiles, et il est recommandé pour créer de petits sites ou applications Web contenant 4 ou 5 pages.
Comme Bootstrap et Foundation, Pure utilise un système de grille, et est livré avec des composants de base tels que des formulaires, des boutons, des tableaux, des menus…
10. Animate.CSS

Comme son nom l’indique, Animate.css est une bibliothèque CSS fournissant des composants d’animation prêtes à l’emploi, puissantes et modernes. Bien sûr la plupart des frameworks listés dans cet article proposent eux-aussi des composants d’animation, mais Animate.css est un module dédié uniquement à ces effets.
Il fournit donc un très large éventail de classes d’animation, citons par exemple bounce, flash, rubberbounce, shakeX et shakeY.
C’est vraiment très facile d’apprendre et d’utiliser Animate.css, qui dispose d’une documentation complète. Avec presque 70 000 étoiles sur GitHub, c’est un véritable plébiscite et, s’il n’est pas à proprement parler un framework CSS, il se devait de figurer dans cette liste.
Conclusion
L’utilisation de CSS dans le développement de sites Web est un domaine vraiment important puisque c’est ce CSS qui va donner tout l’impact graphique et visuel d’une page.
Vous avez besoin de connaissances spécifiques pour créer une feuille de style, et vous allez devoir écrire beaucoup de code, ce qui s’accompagne généralement d’un certain nombre de problèmes surtout si le site fait appel à de nombreux éléments. Plus d’éléments, donc plus de code, ce qui n’est pas une bonne nouvelle ni pour vous, ni pour les futurs visiteurs. L’écriture du CSS « from scratch » (à partir de zéro) représente en effet une quantité de travail vraiment importante.
Heureusement, il existe désormais de nombreux frameworks CSS qui permettent d’accélérer ce processus, et les programmeurs sont toujours plus nombreux à travailler à partir de ces outils.
Besoin d’un intégrateur CSS pour améliorer le style de votre site ? Contactez-Nous.
Le véritable voyage ne consiste pas à chercher de nouveaux paysages, mais à avoir de nouveaux yeux.
Marcel PROUST
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